Dans « Ma Belle de Mai », les habitant·es deviennent nos guides. À chaque épisode, un visage du quartier nous emmène dans un lieu qu’il aime, un coin de rue, une place, un terrain de jeu, un jardin… Un endroit qui dit quelque chose de sa vie et de la Belle-de-Mai d’aujourd’hui.
Anis, Marceline, Mona, Manar et Yonni ouvrent le bal : cinq regards, cinq histoires, cinq manières de raconter ce quartier vivant, populaire et plein de surprises.
Ma Belle-de-Mai // épisode 1 : Anis
Anis dessine la Belle-de-Mai comme d’autres la photographient. Il nous emmène dans une balade guidée par ses croquis, jusqu’à la place Cadenas où il termine en dessinant la scène en direct.
Ma Belle-de-Mai // épisode 3 : Mona
Mona, 76 ans, est une figure du centre social de la Belle-de-Mai : « Mona, c’est notre grand-mère à tous », dit une femme qui fréquente le lieu. On la voit chanter, échanger avec les habitués et défendre son quartier. Elle rejette l’étiquette de “quartier le plus pauvre” et affirme au contraire que la Belle-de-Mai est un lieu riche — de solidarité et de liens.
Ma Belle-de-Mai // épisode 4 : Manar
Pour Manar, la Friche Belle-de-Mai est un royaume : toboggans, skatepark, trains qui passent, Radio Galère… Elle y circule en guide experte, parfaitement à l’aise dans cet immense terrain de jeu.
Ma Belle-de-Mai // épisode 5 : Yonni
Yonni, 5 ans, veut présenter son ami : l’abricotier du jardin partagé où il va avec ses parents. Avant d’y grimper, il nous montre son école, reconnaît les plantes — « ça, c’est de la sauge » — et nous fait découvrir son petit monde à sa manière.









